Vaincre la dépendance affective avec un coach de vie

La dépendance affective est un mal insidieux. C’est une mauvaise gestion des émotions où l’on ne considère que l’opinion et la réaction des autres. Cela peut être une personne que vous cherchez à séduire et qui joue avec vos sentiments ou bien une personne avec qui vous êtes en couple et dont la relation s’avère déséquilibrée. Ainsi, le love coaching permet de trouver une solution pertinente et pratique pour ne plus être en demande ou en dépendance affective.

Un travail sur vous-même

Le coach de vie va intervenir en vous faisant travailler sur vous-même. Ainsi, à travers des discussions, des remises en cause, mais aussi de l’hypnose thérapeutique par exemple. Ou encore des exercices de PNL, vous allez pouvoir retrouver le contrôle de vos émotions. Au final, l’objectif de tout ce premier travail est de maîtriser votre inconscient, de ne surtout plus laisser la place à émotions négatives et à la peur.

Équilibrer sa vie

Avec un coach de vie, vous allez apprendre à équilibrer votre vie amoureuse. En effet, quand on est en dépendance affective, on a souvent tendance à mettre l’amour comme priorité; et l’on ne sait plus comment sortir, comment si on tournait sans cesse rond. C’est pourquoi, avec le coach, vous allez donc mettre en place un emploi du temps. Vous programmez des « missions » à gérer jour après jour afin d’occuper votre esprit, de mieux vivre vos passions et d’être entouré sur le plan social.

Retrouver confiance en soi

En effet, être en situation de dépendance affective révèle souvent un manque de confiance en soi. On cherche à le combler par les attentions de quelqu’un d’autre, par sa présence. Ainsi, le coach amoureux vous aide changer cette situation en vous proposant d’organiser votre vie différemment et de penser à vous. Par ailleurs, en mettant en place des activités sportives, en changeant votre look, en planifiant des sorties entre amis; vous créez petit à petit une vie qui vous ressemble, qui vous plaît. Une vie dans laquelle vous êtes acteur et non plus spectateur.